Voici venue l’ère du grand détournement des lois, celles du monde de l’humain libre et intègre dans ce qui le constituât. Un grand détournement qui contraint sans obliger car sinon, il devrait assumer la conséquence de ses actes. Comme c’est malin !
C’est pourtant, bon ou malgré lui, malgré ses subterfuges, corruptions et cupidités, vanité et orgueil, ce qui d’une manière ou d’une autre adviendra. C’est anticonstitutionnellement, qu’il marche à grand pas et fait marcher à la baguette (le pain) ou le bâton (la punition) toute une création qui, pourtant, ne lui appartient pas. Celle-ci n’est pas brevetée ni soumise aux lois du marché… Comme celui des esclaves, des objets ou des denrées.
Mais qui s’exprime à travers lui ?
Chacun y lira ce qu’il croit bon y voir pour lui-même.Il offre pourtant des indices, qu’à trop vouloir crier ou faire taire, finirons par réveiller ou endormir à jamais.
Nous n’avons pas besoin d’être ré-Animés si c’est la vie qui nous anime.
Notre monde a plusieurs strates et états de lectures, la première appa-rence, et l’univers inter| |sidérale des symboles et paraboles. Ce n’est pas que les mots qui comptent, mais ce qui est dit dans l’espace ou les interstices qui les unissent. Quand aux images que l’ont nous imposent et que l’on s’impose à soi-même, elles possèdent la même signifiance, visible et invisible au premier abord.
Voici, ces symboles comme des images qui inondent de goutes de pluie notre inconscience ou notre conscience. Si nous les sentons ou prés(s)entons toxiques, ouvrons nos parapluies ! Plutôt qu’à se faire tout petit pour tenter de passer à travers les goutes. Il n’y pas de camp, juste le choix unique et les conséquences de ce l’on goute, le champignon Métabolique ou celui de l’Arbre de VIE.